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Bertrand Giampietri. Danseur, chorégraphe

 

Comme beaucoup de petits garçons du village avoisinant la grande ville de Tours où il est né, Bertrand Giampiétri fréquente une école de foot dès son plus jeune âge. Sa sœur, elle, fait de la danse, ce qui à priori le laisserait parfaitement indifférent si elle ne revenait pas systématiquement à la maison avec un bonbon que son professeur lui donne en récompense. Un carambar vaut bien un cours de danse… Bertrand a cinq ans lorsqu’il entre pour la première fois dans un studio. Il y restera jusqu’à l’âge de dix ans, date à laquelle les carambars cessent définitivement sur lui leur pouvoir attractif et que la baguette punitive de son professeur lui laisse un goût amer. Il se tourne alors vers le tennis.

C’est un évènement précis qui va révéler en lui sa vocation. Comme bien des enfants de son âge, Bertrand passe ses vacances en colonie. Au cours du jeu bien connu du gendarme et de voleur (il est voleur..), il commet l’erreur de vouloir échapper à ses copains en descendant à pied une falaise qu’il juge à sa portée. La chute est de douze mètres. Bertrand doit sa vie à un arbre. Un arbre poussé là et qui le retient dans sa dégringolade. Dans l’hélicoptère qui l’emmène à l’hôpital, tout le monde parle de miracle. Pour lui, c’est le réveil de sa vie. Il sait maintenant, dans la prise de conscience que lui révèle l’accident, qu’il est fait pour danser.

Son apprentissage passe par le Conservatoire de Tours où il rafle tous les premiers prix. Puis, c’est le Conservatoire de La Rochelle, mieux côté, qui lui permet de perfectionner sa technique. Son professeur s’appelle Colette Miller et n’est autre que la maman de Michel Gascard, danseur soliste de Maurice Béjart à Bruxelles. Sur les murs de la salle de danse, que des photos de danseurs du célèbre chorégraphe. De quoi alimenter le rêve… A quatorze ans, Bertrand écrit sa première chorégraphie et danse six heures par jour. Il délaisse l’école qu’à la seule condition paternelle qui ne voit pas en la danse un « vrai » métier: celle de remporter tous les premiers prix de Conservatoire qu’il présente. Bertrand remporte tous les premier prix et papa ouvre un livre sur la danse…

A dix sept ans, Bertrand entre au « Jeune Ballet de France » comme le prédisait Colette. Il y apprend le répertoire des grands ballets classique et des chorégraphes plus contemporain comme Angelin Preljocaj et Karine Saporta. Michel Gascard l’initiera plus tard aux plus grands rôles de soliste de Maurice Béjart. En 1988, il auditionne pour le Ballet du Capitole avec succès. Il y restera jusqu’en 1997, non sans avoir dansé dans le monde entier. Il y rencontre son grand ami Patrice Lasserre avec lequel il se voit attribuer une place dans la Compagnie de Mickaël Baryshnikov lors d’un passage à New-York.

En 1997, Bertrand quitte le Capitole pour fonder sa propre Compagnie : Le Ballet Intemporel. Il compte à son actif une douzaine de pièces, de style néo classique ou contemporaine. En 2005, il est sélectionné pour représenter la France dans le cadre d’un festival international au Vénézuella qui le conduit dans tout le pays. Bertrand enseigne dans une école du Gers et participe à de nombreux stages. Il sera du 9 au 12 avril au festival Danse et Cirque que propose l’école de danse des 3A. Il dansera également lors d’une soirée du festival qui se déroulera aux Haras le 10 avril à 21h. Maintenant, c’est lui qui fait rêver.

                                                                                                                   P.Ba

 

 

 



 

 

 

 

 

 

Le festival "Danse et Cirque" d'avril organisé par l'école de danse 3A se prépare!!!

L'affiche du stage Monsieur Yutaka Takei, une affiche pour lui tout seul... L'ensemble des professeurs invités cette année: que du bon!

L'affiche du stage
L'affiche du stage 

 

Pour cette école de danse dynamique qui propose ce week-end un stage de danse orientale dans la salle de sport d’ « Evasion », c’est déjà la cinquième édition du grand stage de danse international qu’elle propose chaque année, pendant les vacances de Pâques.

 

Sauf que cette année, pour fêter les cinq ans, l’association annonce un festival danse et cirque : « C’est la première fois que nous tentons de conjuguer la danse et le cirque pendant la même période, c’est pour nous un véritable challenge car nous recevrons pas moins de onze professeurs sur le site des Haras et au Centre Culturel du Pilat, dont huit rien que pour la danse », confie Sylvie Barat la responsable du festival. Voici en avant première le menu des festivités prévues du 9 au 12 avril prochain :

 

Huit professeurs pour la danse dont deux pour la danse contemporaine et le hip-hop, un pour le M’Jazz, un pour la danse classique, un pour le Ragga, un pour la danse indienne.

 

L’atelier cirque sera proposé toute la journée avec des activités de jonglage, trampoline, équilibre, monocycle, trapèze, personnage… un atelier pour les plus petits - 4 et 5 ans - sera également mis en place.

 

Enfin, deux soirées danse et cirque et une expo photo de danse au cinéma « Le Régent » sont également en préparation.

 

En attendant de voir en ville fleurir les affiches de l’annonce de l’évènement, vous pouvez  contacter l’association au 05.61.94.32.51 pour obtenir les renseignements qui vous seront nécessaires, l’accueil y est bon.

 

 

                                    P.Ba.

 

 

 

Au théâtre ce soir: Le jeu de la vérité.

Les acteurs dans les studios de la radio
Les acteurs dans les studios de la radio 

Les quatre acteurs du « Jeu de la Vérité » sont arrivés vendredi en fin d’après midi de Paris et ont gentiment acceptés l’invitation de Michel Seize pour répondre à ses questions en direct du studio de RDC avant leur prestation sur la scène du théâtre.

 Un grand moment de radio…

David Brécourt, Christian Vadim et Philippe Lelouche les trois grands gaillards acteurs de la pièce à succès « Le jeu de la Vérité » accompagnés de Marie-Gaëlle Cals (décidément très belle) ont poussé la porte du studio de RDC peu de temps après leur arrivée dans notre ville. Ils se sont ainsi prêtés au jeu des questions de l’animateur pour le plus grand bonheur des auditeurs Commingeois qui écoutaient la radio à ce moment là…. car ce fut un vrai bon moment de radio tant l’humour des uns et des autres a pu s’exprimer librement au cours de cet entretient. Cela donnait déjà le ton de la pièce qui allait être jouée quelques minutes plus tard dans un théâtre Jean Marmignon archi rempli pour l’occasion.

…et un grand moment de théâtre.

Certes, il y eut beaucoup de rires tout au long de la pièce (qui est faite pour ça) mais aussi très certainement des réflexions sur certains comportements humains. Car le texte finement ciselé de Philippe Lelouche est là pour provoquer le spectateur, le pousser dans ses retranchements. Il souffle le chaud et le froid, passant sans cesse d’un humour potache à une étude comportementaliste plus acerbe. Le public reçoit pleine face cette galerie de portraits à priori très communs, mais si habillement disséqués par ce « jeu de la vérité » (auquel les protagonistes doivent se soumettent à cause d’une situation plutôt imprévue), que les masques tombent, les tabous et les peurs ressurgissent. Nos « flamboyants » quadras laissent alors apparaître toute leur fragilité et leurs souffrances enfouies sous le vernis d’une trop apparente dérision.

Tous les acteurs sont excellents et s’amusent autant que nous sur scène. Mention spéciale pour Christian Vadim et pour Marie-Gaëlle Cals qui paye de sa personne pour un rôle pas évident du tout à endosser...Il se chuchote qu’un film tiré de cette pièce serait en préparation. Succès annoncé!               

                                    P.Ba.

 

Boxe: une manche du Championnat de France Amateurs s’est déroulée en Comminges

 

 

 

 

Ce samedi 13 janvier, la salle des fêtes de Montréjeau s’est transformée pour un soir en « Palais de Sports » section boxe pour accueillir une manche du Championnat de France Amateur seniors hommes 2007 organisé pour la première fois par le Boxing Club du Comminges (BCC).

 

Une organisation sans failles: le Boxing Club ne manque pas de punch.

L’organisation de cet événement exceptionnel a été confié au Boxing Club du Comminges de Montréjeau qui maîtrise bien son sujet puisqu’il offre au public commingeois traditionnellement chaque début année son gala annuel. Forts de ce savoir faire, les membres du club et son président Philippe David (lire par ailleurs) promu responsable général de l’organisation, ont dû pourtant se retrousser les manches afin de respecter l’important cahier des charges imposé par la Fédération Française de Boxe. Accueil de concurrents, pesée et visite médicale des boxeurs, réunion technique avec les entraîneurs, installation du ring (prêté par la ville de Saint-Gaudens), aménagement de la salle, des éclairages et de la sono en partenariat avec la mairie de Montréjeau et ses services techniques, le BCC et le Comité Départemental de Boxe de la Haute-Garonne ont été à la hauteur du défi.

 

Le public au rendez-vous et un plateau relevé.

Dès 20h15 et la présentation des premiers combats (14 au total de la catégorie 60 kg jusqu’aux 91 kg) plus de 400 personnes avaient pris place autour du ring constituant un public connaisseur et enthousiaste ravi de pouvoir assister à des combats de ce niveau. Il a soutenu les combattants venus des quatre coins de France (Picardie, Ile-de-France, Lyonnais, Aquitaine…) et même de bien plus loin puisque la Polynésie Française était représentée avec le Tahitien Cedric Bellais. Les caméras de FR 3 et RFO ont d’ailleurs filmé l’événement. Bien sur les régionaux avaient fait le déplacement profitant de l’aubaine d’un championnat près de chez eux (Blagnac, Castres, Cugnaux, Albi…).

 

Des combats de très haut niveau.

L’ensemble des confrontations à été agréable à regarder. Il faut dire qu’à ce niveau de la compétition (1/32ème de finale) le niveau technique des combattants est bien présent tout comme leur parfaite condition physique. Le ticket pour les 16èmes de finales est difficile à décrocher. Chacun a donné le meilleur de lui-même sur les quatre rounds de deux minutes donnant de belles empoignades dans un total respect des règles. Et ce soir, chacun des vainqueurs a fait un pas de plus dans la légende du « noble art »… Pour les régionaux notons les victoires de Mehdi Lafif de Blagnac, de Julien Janet d’Albi…Des différents « styles » de boxe c’est celui du Tahitien qui a vraiment impressionné tout le monde. Il a d’ailleurs été élu « meilleur boxeur de la soirée ».

 

On en redemande.

Pratiquée par des hommes hors du commun, la boxe est un sport particulièrement exigeant, c’est pour ça qu’il est beau. Sur un ring le combattant est seul et ne triche pas. Mais la boxe est aussi un art, c’est pour ça qu’elle fascine. On peut remercier le BCC de Montréjeau d’avoir su proposer ce spectacle. En espérant que cela fasse des émules et que l’on verra encore plus de boxe en Comminges car, c’est sur, son public est bien là.

 

Pierre Barat.

 

 

 

 

Le chenil et l'ACPA lancent un appel aux bénévoles.

 

 Des précisions sur le refuge pour animaux de Saint-Gaudens par Mme Sylvie Grison de la fondation Brigitte Bardot.

« Des locaux qui ne sont pas aux normes. »

« Le refuge de Saint-Gaudens est divisé en deux: Une partie fourrière sous la responsabilité du maire et une partie refuge sous la responsabilité de l'association ACPA. La partie fourrière devrait avoir un assainissement dans les normes et un gestionnaire employé de mairie pour s'occuper des animaux et rechercher les propriétaires dans un délai franc de garde de huit jours. A l'issue de ce délai, le gestionnaire peut céder à des associations disposant d'un refuge, ou peut garder les animaux dans la limite de la capacité d'accueil. La partie refuge n'a pas non plus d'assainissement dans les normes et accueille principalement les chiens de la fourrière. Sa capacité d'accueil n'est pas respectée puisque de 5 m2 par chien minimum, elle est devenue 2.5 m2. Il faudrait donc que la mairie délègue un employé, pour gérer la fourrière et soulager ainsi l'association et qu'elle améliore les structures existantes tout en mettant en place un système d'épuration. »

 

 

« Une ballade de ½ heure tous les deux mois! »

« Il y a une centaine de chiens - certains ne sont jamais promenés et vivent dans 2.5 m2. En venant 2 heures par semaine, une personne sort 4 chiens. Nous sommes trois pour l'instant, nous venons 2 heures par semaine le mercredi AM ou le samedi AM. Nous sortons 12 chiens par semaine et dans le mois 48 chiens. Ces 48 chiens auront eu la chance de se promener ½ heures dans le mois. Les autres sortiront le mois d'après, donc chaque chien aura une balade d'1/2 heure tous les 2 mois. C'est absolument inadmissible et hors la loi car cela va à l'encontre des besoins physiologiques du chien, mais c'est hélas souvent le lot de ces refuges. Il est donc urgent d'avoir un parc d'ébat afin que chaque chien est ½ heure par semaine pour courir. » La Fondation Brigitte Bardot devrait financer ce parc.

 

 

Un appel aux bénévoles.

« En attendant, nous espérons 3 autres bénévoles au minimum pour que tous les chiens aient ½ heure de sortie par semaine. Le refuge a besoin également d'une personne à l'accueil. Une personne à la retraite, par exemple, pourrait venir au bureau, répondre au téléphone et accueillir les visiteurs 3 après-midi par semaine (ex: lundi-mercredi-samedi). Son travail serait simple, puisqu'elle montrerait les photos des chiens, expliquerait l'histoire du chien et orienterait les adoptants potentiels vers les enclos. Il faudrait un album de photos des chiens dans le bureau d'accueil, ce qui permettrait un choix plus facile des adoptants. Enfin, il faut espérer trouver des familles d'accueil pour certains de ces pensionnaires qui ne supportent plus la captivité. »

 

La famille d’accueil: explications.

« La famille d'accueil est une famille qui accepte des chiens au sein de son foyer, pour lui redonner la joie de vivre normalement, mais qui n'en est pas propriétaire, puisque le refuge continue à le proposer à l'adoption. Les frais vétérinaire sont payés par l'association, et la famille n'aura pas à payer le chien puisqu'il ne lui appartient pas. Les familles permettent souvent à certains chiens d'avoir une vie heureuse alors qu'ils se laissaient mourir en cage. Normalement, ces familles les accueillent temporairement en attendant l'adoption, mais le plus souvent les chiens savent si bien se faire aimer que les foyers temporaires deviennent définitifs. Vu le nombre de chiens au refuge, sachez qu'au delà d'un certain âge, les chiens sont proposés gratuitement à l'adoption. »

D’autre part, il semble qu’une rencontre soit prévue avec M. le Maire de Saint-Gaudens pour lui demander une aide. Affaire à suivre... En attendant, toutes les idées des bénévoles pour améliorer l'accueil et leur condition de vie sont les bienvenues.

Contact :ACPA, Route de Miramont. 31800 Saint-Gaudens. Tél : 05.61.89.39.18

 

Propos recueillis par P.Ba

 

 

 

 

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